Baisse ton calbute j'ai à te parler

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il y a 5 ans

Il est plutôt direct Patrick, et c'est ça qui me plaît chez lui. Ce petit mec qu'on avait dragué dans une ruelle du quartier des Halles en est resté comme deux ronds de flan. S'il avait cru nous balader, il s'était sacrément gouré. On l'avait coincé sous un porche et il ne nous échapperait pas. Le genre de jeune gars bien gaulé avec une jolie petite gueule qui s'amuse à allumer les pédés, on connaît et on sait quoi faire. Soit il coopérerait de bon gré, soit il y passerait de f o r c e . Ça serait pas la première fois qu'on v i o l e un mec qui nous résiste.

— Baisse ton calbute, a répété mon copain en le saisissant à la gorge.

Le jeunot s'est exécuté, il crevait de trouille mais il y avait une grosse bosse à l'intérieur de son jean troué. Chaque fois que Patrick m'étrangle, ça me fait triquer moi aussi. C'est le syndrome bien connu qui fait décharger le pendu et fait pousser les mandragores au pied de toutes les potences. Il était deux heures du matin et la ruelle était déserte. La gorge étranglée par Patrick, le jeune a vite défait son ceinturon et tiré son slip à mi-cuisses. Mon pote a desserré son étreinte et l'a f o r c é à s'agenouiller. Il a déboutonné sa braguette et lui a fourré sa grosse bite.

— Suce, chiennasse, a-t-il dit. Et économise pas ta salive. Ça t'apprendra à nous promener.

Il lui a foutu une baffe et le mec s'est exécuté. C'est un môme d'à peine 18 ans et il est terrorisé. Pendant ce temps je doigte son cul et il s'ouvre de plus en plus.

— Je le passe, j'ai dit à Patrick.

J'ai introduit ma bite épaisse et le jeune a pas réagi. Son trou avait eu de l'usage et il était pas du tout serré, il avait reçu plein de chibres, on entrait comme dans un moulin. Je lui ai foutu une calotte, je lui ai relevé son derrière et j'ai commencé à limer. De dos, je lui voyais la nuque et sa tête qui pompait, pompait. J'ai déchargé dans son rectum et son sphincter m'a étranglé comme s'il voulait me retenir. Son cul avait une jolie forme et il luisait sous la pleine lune. Quand Patrick a joui dans sa bouche, il a gémi et avalé sans laisser perdre une seule goutte.

— Bonne chiennasse, a redit Patrick en lui filant un coup de latte.

On a laissé le mec à terre et on s'est barré tranquillement...

Ça fait trois ans qu'on est ensemble et Patrick me surprend toujours. À 42 ans sonnés, il est mon aîné de 15 ans car je viens d'en avoir 27. Je l'ai dragué quai des Tuileries et il m'a suivi dans ma turne, un studio au dernier étage d'un immeuble dans le 6ème arrondissement. J'étais et je suis étudiant et lui est un ancien para. Il compense sa demi-retraite par une activité de pion dans un établissement catho et il habite un petit T2 dans le quartier de l'Horloge aux Halles. J'ai emménagé avec lui et depuis nous formons un couple. Ce qui me branche le plus chez Patrick, c'est son côté primitif, brutal. Quand il me flanque des dérouillées, je me sens vraiment exister. J'ai besoin d'être pris en main en particulier pour le sexe et j'adore être dominé. J'aime obéir à mon amant même si au final je l'encule. C'est pour beaucoup le paradoxe de notre relation de couple mais ça ajoute du piquant.

Patrick, c'est pas un body-buildé, sa musculature, plutôt fine, a la consistance de l'acier. À le voir on dirait jamais qu'il a une f o r c e herculéenne et qu'il te soulève comme une plume même si t'es un gros baraqué. C'est aussi ce qui fait son charme. Il est costaud et svelte en même temps, mais ce qu'il ne pourra jamais cacher, c'est sa gueule typique de para. Coupe de cheveux presque rase, traits marqués et menton carré, il a une tronche de baroudeur. Je m'imagine sa dégaine sur les théâtres d'opération, le béret rouge sur le côté et le FAMAS dans la main droite. Il a beaucoup bourlingué pour l'armée mais il s'étend pas là-dessus. Toujours est-il qu'il a en lui une v i o l ence irrépressible et qu'il doit sans cesse contrôler. Quand il me dérouille par exemple. J'ai un code pour le modérer, je lui crie : « Halte au feu, Sergent ! » et ça lui fait l'effet d'une douche. Il suspend son geste et s'arrête, et c'est là que je prends son cul.

Je suis un maso je le sais, ça remonte à la première fois que j'ai baisé avec un homme. Il avait dans les 50 ans et moi j'étais bien jeune. Je l'avais choisi dans un bar à pédés au bout de la rue des Archives, il buvait une bière et moi un coca. Il avait une gueule atroce mais il était bâti en f o r c e . On est descendu aux toilettes et je l'ai un peu tripoté mais il n'y avait pas de cabines alors je l'ai suivi chez lui rue Charlot. Je me suis tout de suite défringué et j'ai attendu qu'il me touche. Il m'a branlé mais je bandais pas alors il m'a dit : « C'est quoi ton trip petit pédé ? » Je savais pas quoi lui répondre et j'ai voulu me rhabiller. Alors il m'a frappé en me disant que j'étais juste un con d'allumeur et qu'il avait autre chose à foutre. Il m'a filé une autre beigne et je me suis mis à bander. Il a rigolé et a dit : « J'ai compris, tu veux une torgnole, eh ben mon pote tu vas l'avoir. »

Il m'a frappé à l'estomac et je me suis plié en deux. J'étais sur le point de gerber mais il il m'a refilé une beigne et ça m'en a coupé l'envie. Puis il s'est foutu à poil lui aussi et j'ai vu sa petite quéquette qui pointait à 12cm. Il avait des gros bras musclés et des cuisses couvertes de poils. Il a défait son ceinturon et m'a cinglé mes fesses imberbes. Ça, ça m'a fait bander vachement et ma queue s'est bien épanouie. Elle fait 20x5cm ma queue, et elle n'a pas fini de grandir. Pour finir il m'a allongé sur ses cuisses et il m'a donné une fessée. Je sentais sa quéquette sur mon ventre et je mouillais comme une vraie pute. Il me fessait à tour de bras et j'ai pas pu me retenir. Je lui ai tout largué sur sa bite et lui il a joui en même temps. J'ai compris que j'étais maso et que mon bien ce serait de me faire du mal. Depuis que je suis avec Patrick, il me fait suffisamment de mal pour que je ressente du bien.

On est tous deux dans la baignoire et Patrick me pisse dans la gueule. C'est l'un de mes trips préférés de recevoir un jet d'urine. J'en avale autant que je peux mais je suis obligé d'en laisser et Patrick me flanque une châtaigne. Ma queue durcit, j'en veux encore de sa pisse et de ses baffes sur ma gueule. Je suis tout petit comparé à lui et ça me fout une sacrée trique de me sentir à sa merci. Il me fout sa pine dans la bouche et il m'oblige à le pomper. C'est un jeu de rôle entre nous, je suis un fervent amateur de sperme mais j'aime l'idée d'être brutalisé et f o r c é par un mâle dominant. Il me bourre la gueule et je bande.

Il me demande de l'enculer. Il est à quatre pattes sur le lit et je lui lèche la rondelle. J'introduis la pointe de de ma langue et je sens une odeur de m e r d e , ça aussi fait partie du trip. J'ai demandé à mon Patrick de ne pas se laver le cul pour le flairer comme une chienne en rut. Je décalotte mon gros chibre et je lui enfonce mon gland. Je donne un grand coup de boutoir, pas besoin de gel, ça coulisse, c'est plein de m e r d e là dedans, après je l'essuierai avec un mouchoir en papier et je me laverai au lavabo.

Patrick n'a pas toujours été brutal ni trash. C'est lors d'une opération commando que lui est venue cette addiction. Des rebelles l'ont fait prisonnier et v i o l é trois semaines durant avec des sévices inhumains. De multiples passages à tabac, des humiliations quotidiennes suivies d'enculades à la chaîne lui ont laissé un grand désir de vengeance et la v i o l ence au fond du cœur. Mais il a acquis en même temps le goût de la sodomie passive et depuis il n'aime que cela. Il avait 24 ans alors et n'était pas homosexuel ou du moins c'est ce qu'il prétend. À titre personnel j'en doute, mais j'aborde pas le sujet. Tel qu'il est, Patrick me convient. C'est une attaque américaine sur le campement taliban qui lui a permis de s'enfuir accompagné de deux paras prisonniers comme lui. Il y avait une telle pagaille qu'ils se sont glissés furtivement dans le dédale des rochers et ont pu rejoindre leur base. On les a interrogés en détail sur la

topographie du camp mais sur ce qu'ils avaient subi, on ne leur a rien demandé.

Chacun savait ce qui attend un Occidental s'il se retrouve entre les griffes de ces combattants des montagnes privés de meufs depuis des mois. Les Talibans sont des rebelles et quand ils font des prises de guerre ils ne se sentent pas concernés par la Convention de Genève.

De ses deux camarades de captivité Patrick n'a plus de nouvelles depuis qu'on les a rapatriés. Ils n'avaient pas sa constitution robuste et sont restés à l'hôpital jusqu'à leur retour en France. L'un avait le cul en bouillie à la suite des multiples v i o l s, l'autre avait flanché de la tête et fait une sévère dépression. Un Taliban, Abdellatif, était particulièrement cruel. Il n'y avait pas de sévices auquel il ne s'était livré sur les trois soldats sans défense. Il leur pissait en pleine gueule, les enculait et les f o r ç a i t à sucer sa bite pleine de m e r d e , puis il les tabassait à coups de pieds sous les rires de ses compagnons.

Thierry, l'ami le plus proche de Patrick, était son grand souffre-douleur. Il le promenait à poil dans la grotte devant des a d o l e s c e n t s guerriers et les livrait à leurs caprices. La plupart n'avaient pas 16 ans et n'ayant pas connu de femmes, ils s'exerçaient au rôle de mâle dans le cul des trois prisonniers. Obéir à leurs injonctions était une humiliation sans bornes. Qu'un homme fait soit obligé de s'avilir à sucer un jeune de 15 ans pendant qu'un autre ado l'encule, ça Thierry n'avait pas supporté. Patrick en avait pris son parti et sa tête avait tenu bon. Il saurait faire payer aux ados leur putain d'arrogance s'il se tirait de ce merdier. C'est la promesse qu'il s'était faite.

Maintenant, près de 20 ans après, il réalisait cette promesse ayant pris les ados pour cible. J'avais été l'une d'entre elles et je m'étais laissé larver, mais la mise à disposition de mon corps ne pouvait être un exutoire à sa volonté de vengeance. Il lui fallait des non-consentants et il les trouvait n'importe où avec ma participation active. Comme ce jeune mec près des Halles qu'il avait à moitié démoli.

Hier on en a chopé un pas loin d' Austerlitz sur le quai derrière Saint-Maclou. Avant c'était un lieu de drague et y avait des dizaines de mecs, mais depuis qu'ils ont éclairé il faut s'éloigner vers les chantiers et la sablière à pédés. Ça craint un peu mais on est deux. Le jeune mec, lui, était tout seul. Il nous a suivis derrière un engin de levage, un gros tas de gravier nous cachait. Il pouvait avoir 17 ans et il avait l'air caillera. On a vérifié qu'il y avait pas des comparses et qu'on pouvait y aller franco. Non, le jeune était bien venu seul.

— Baisse ton calbute j'ai à te parler, a dit Patrick en lui expédiant une grosse baffe.

Le mec a couiné de douleur et il a cherché à s'enfuir mais je lui ai fait un croche-pattes. Il s'est affalé comme une m e r d e et nous a regardés, paniqué. Je lui ai fait un peu les poches et j'ai trouvé deux porte-feuilles qu'il venait sûrement de piquer à des michetons. Il était une heure du matin et avant de rentrer chez lui avec son butin il voulait sans doute s'éclater car il avait tout d'une tapette. On a déchiré son t-shirt et son torse nous est apparu maigre et à peine dessiné, puis on lui a arraché son jean. Sa bite était ratatinée mais les queues des a d o l e s c e n t s on en a jamais rien à battre. Patrick l'a copieusement tabassé et il lui a enfoncé son zob dans la gueule. Moi je me suis mis derrière lui et je l'ai enculé à sec en prenant soin de lui faire mal, au cas où il serait maso. Il a poussé un gémissement et je l'ai bourré à coups de reins en matraquant ses petites fesses avec mes bonnes cuisses de mec. Ça a bien duré un quart d'heure et il bandait toujours pas, le caillera.

— Ça te plaît pas, sale petite pute ? a dit Patrick en lui démolissant la gueule.

Il lui filait des grosses calottes tout en lui bourrant le gosier et je renchérissais par derrière en donnant des coups de boutoir. Patrick s'énervait un peu trop, il lui envoyait des mandales, ça risquait de dégénérer alors je suis intervenu. J'ai crié : « Halte au feu, Sergent ! » et il s'est tout de suite arrêté. L'ado est resté à genoux, il était complètement sonné. On a pris ses fringues et on les a balancées dans la Seine, il est à poil le caillera, je lui souhaite un bon retour en banlieue.

Je suis étudiant en psycho et je vais bientôt passer mon épreuve de doctorat. J'ai bossé sur le sado-maso et j'ai appris pas mal de choses. Je sais en particulier que "bondage" est un synonyme d'esclavage et que les masos comme moi aiment être attachés et fouettés. C'est une pulsion sexuelle qui concerne un demi pour cent de la population mondiale. Nous sommes donc 35 millions de personnes à jouir de cette manière-là, ce qui est approximativement le nombre d'habitants en Pologne. C'est dire que je ne me sens pas seul. Patrick m'attache avec des lanières fixées aux quatre coins du lit et il m'entoure les testicules avec un lacet de soie noir. Bien sûr nous sommes nus tous les deux et nous sommes assez excités pour bander sans autre artifice. Je suis pour l'instant sur le dos, je vais recevoir la fessée. J'adore qu'il me tape sur le cul. Quand mes fesses seront toutes rouges, Patrick me retournera sur le ventre et il me sucera à fond.

Il a pris son martinet en cuir et il me frappe à petits coups. Mon sexe s'écrase sur le drap et le repense avec délice au plaisir que papa me donnait quand il me prenait sous son bras pour m' administrer la fessée. Je n'avais pas plus de six ans mais j'éprouvais une jouissance à sentir mon derrière tout nu frappé par la main paternelle. Mon zizi devenait tout raide et si je poussais de grands cris, je savourais à fond ce moment. Quand papa en avait fini je ressentais une frustration, j'aurais voulu que ça dure longtemps. Il me tenait sur ses genoux et je sentais la bosse de son sexe. Il me fessait souvent, papa. Je ne peux pas dire que Patrick représente l'image de mon père mais j'ai appris en cours de psycho que la sujétion d'un maso est toujours liée à l'e n f a n c e .

Le désir de se sentir dominé est une quête de protection. Un père est d'autant plus un père s'il représente un bouclier contre la faiblesse de l'e n f a n c e et ses muscles rassurent davantage que l'amour donné par la mère. Être sur les genoux de papa et sentir sa rude main calleuse m'importait plus que des bisous. Sentir sa bite sur mon ventre avait un effet apaisant. Je provoquais les occasions de me faire donner la fessée et ce devint une addiction.

Patrick n'a pas l'âge d'un père mais il a la f o r c e brutale et je me sens bien protégé. J'aime les flics, les militaires, tout ceux dont l'autorité en impose. J'aime l'uniforme et les treillis, les cuisses poilues, les crânes rasés.

Peu m'importe la taille de la bite pourvu que le mâle soit couillu. Pour tout cela j'adore Patrick, il est la quintessence du guerrier, je me sens en sécurité quand il m'attache et me rudoie. Parfois il m'emmène au Bunker, un grand bordel dans le 11ème. Je me fous complètement à poil et il me promène à quatre pattes avec une laisse autour du cou. Il me guide avec sa cravache vers le pédé qu'il a choisi pour qu'on se fasse un plan à trois. On s'enferme dans une cabine et je fais tout ce que Patrick ordonne. Dans ces occasions j'ai seulement le droit de dire « oui maître ». Il m'autorise à japper comme une petite chienne et ça ne fait pas beaucoup de bruit. Je lèche les godasses du mec et je lui renifle le cul avant de le décrasser à coups de langue. J'adore les culs bien poilus, les poils collés par ma salive à la périphérie de l'anus où ma bite va s'introduire.

Quand le mec est prêt, Patrick le fait se pencher en avant et m'ordonne de faire une saillie. De chienne je me transforme en chien et je l'encule jusqu'aux couilles pendant qu'il suce mon amant et maître. Si le pédé croyait me baiser au début, je l'ai vite fait changer d'avis avec ma teub de 20x5. Comme toujours le mec est un jeune et le but c'est de l'emmener à l'appart pour une soirée sado-maso. La plupart du temps il refuse mais des fois on en ramène un.

C'est ainsi qu'on a connus Jack. Jack est une chiennasse de première et on s'en est vite rendus compte dans la cabine du Bunker quand il a dit à Patrick :

— J'aurais besoin d'un bon dressage, mais ce que je voudrais c'est du hard. J'ai envie qu'on me traite comme une m e r d e et de me faire chier sur la gueule. Ça te dit de me larver à donf ?

Sitôt arrivés dans l'appart, Patrick lui a filé une beigne et lui a dit se foutre à poil. Il a vacillé sous le choc mais j'ai vu la joie dans ses yeux et il s'est mis à bander ferme. Il s'est déloqué en vitesse. Putain, ce qu'il'était beau ce gamin, super gaulé, avec une bouille de vicelard. Il pouvait avoir 18 ans et aurait triché sur son âge pour être admis dans le bordel si on s'était montré plus curieux. Mais il n'y a jamais de contrôle et de toute façon, à un an près... Jamais je n'ai vu au bordel exiger la carte d'identité d'un client. Faudrait que le mec paraisse vraiment un collégien, mais n'importe quel lycéen peut entrer sans aucun problème. Toujours est-il que Jack, bel ado, se trouvait dans la gueule du loup et que ce serait chaud bouillant avec lui.

D'abord Patrick l'a attaché avec des menottes dans le dos. Je lui ai écarté les jambes et je lui ai mis un cockring en inox, puis j'ai branlé son petit sexe en le décalottant à fond et en tirant fort sur le frein. Ça lui faisait vachement mal et j'ai été obligé de lui enfoncer dans la gueule notre vieux slip croûté de sperme, celui qui sert pour nos trips crades. Je me suis branlé sur ses couilles et je lui ai mordu le gland. Patrick a retiré le slibard et à la place a posé son cul sur la bouche du petit maso et il lui a lâché des caisses. Après ça il a pris son fouet et il l'a cinglé sur le ventre. L'a d o l e s c e n t s'est tortillé et il a dit de frapper plus fort. Des zébrures rouges ont apparu, il fallait passer maintenant à la deuxième phase du dressage. Après la douleur, l'humiliation, ensuite viendrait la punition. On a retiré ses menottes et on l'a collé devant une glace. C'est Patrick qui posait les questions.

— Tu vois quoi quand tu te regardes ?

— Je vois un petit pédé, mon maître.

— Non, tu vois une larve, une m e r d e . T'es moche, t'es mal foutu, tu pues, t'es une indignité vivante. T'as rien à faire dans mon appart. Tu vas retourner cul nu dans la rue, C'est ce que tu mérites, petit con. À moins que tu ne te fasses pardonner. Demande pardon d'être aussi nul et tâche de bien choisir tes mots.

— Pardon maître d'être moche et puant.

— C'est tout ce que tu trouves à dire ? Viens dans les chiottes à quatre pattes et lèche le parquet tout du long.

Jack obéit d'un air soumis et quand il arrive devant la cuvette où stagnent des fragments de m e r d e . Patrick lui met la tronche dedans et l'oblige à bouffer la fange puis il actionne la chasse d'eau. Jack est inondé jusqu'au cou et il a une grosse érection.

— Ça te plaît de manger de la m e r d e ? T'es pire qu'un porc, sale petite lope. T'en veux encore ?

— Oui maître, encore s'il vous plaît. Beaucoup de m e r d e dans ma gueule de lope. Merci maître de me nourrir.

— Tu sais que t'es un gros dégueulasse ? Ça te fait bander de t'empiffrer avec ce qu'il y a de plus vil au monde ? Qu'est-ce que tu es à ton avis ?

— Un gros dégueulasse, une salope, une gueule de porc, un bouffe-m e r d e . S'il vous plaît maître, nourrissez-moi, j'ai très faim.

— T'as envie de chier ? me demande Patrick. Mettons le gars dans la baignoire mais faudra lui filer du poppers sinon il va presque rien bouffer. C'est mon pote qui va te goinfrer, ajoute-t-il, et t'as intérêt à pas trop faire le difficile, c'est la m e r d e la plus goûteuse de Paris.

Le mec s'allonge dans la baignoire et il sniffe un coup de poppers. Il ferme les yeux et il ouvre sa jolie gueule de lope à se déboîter les mâchoires. Positionné bien comme il faut, je lui déroule un colombin qui entre direct dans sa bouche. Il sniffe plusieurs coups de poppers et arrondit ses lèvres autour du saucisson de m e r d e , puis il en sectionne un morceau et entreprend de le mâcher. Il sniffe encore et il avale le premier tronçon, tout petit. S'il continue à ce rythme-là, on va y passer toute la nuit et on a autre chose à foutre.

— Un petit coup de blanc pour faire passer ?

Patrick lui pisse dans la gueule et le môme déglutit enfin. Il me grignote mon colombin arrosé par le jet d'urine qui n'en finit pas de couler. Lorsqu'il en a terminé, il sourit de ses dents marron. Je le trouve infiniment craquant, il a pas le trac le petit Jack. Il a passé l'épreuve haut la main et d'après ce qu'il nous a dit, c'était sa toute première fois. Battu, humilié et puni, tout s'est passé selon les règles. Il peut rentrer chez lui maintenant. Pourtant il se hasarde à dire :

— Ça vous dirait de me laver les dents avec deux grosses giclées de sperme ? Comme ça je jouirai en même temps et ensuite, promis, je me casse.

On se regarde Patrick et moi et on trouve sa demande légitime. On se masturbe devant ses lèvres et lui s'astique son petit pénis. On lui décharge dans la gueule et lui expédie trois gros jets qui viennent s'écraser sur mon ventre et sur la bite de Patrick. Il nous reste à prendre une bonne douche.

— Putain j'ai pas vu passer le temps, dit Jack en regardant sa montre. Mes vieux vont se faire un s a n g d'encre, je devais rentrer à minuit et il est une heure et demie. Un peu tard pour fêter un anniversaire. J'espère qu'ils ont pas téléphoné à mon pote. À propos, je vous laisse mon tél, si ça vous branche de recommencer, je suis partant, mais soyez discrets, un SMS, rien de vocal, mon vieux me surveille depuis qu'il connait mes tendances.

Jack est revenu souvent chez nous et son inventivité nous épate. Avec lui on apprend plein de trucs, comme de décongeler notre sperme et de lui faire boire au biberon.

J'ai réussi mon doctorat avec mention très honorable. L'intitulé de ma thèse était le suivant : « Frontière entre consentement et refus dans les pratiques sado-masochistes. Une étude sur 43 cas. »

Dixon

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